Nos départements de formation


Début des cours
1er septembre 2024.
Coût de la formation
Jour ou soir : dès 290 CHF.- par mois | Mixte : dès 95 CHF.- par mois
Durée de la formation
Entre 12 mois et 48 mois selon le métier et modalité.
Diplôme délivrés
Certificat professionnel/Brevet – 1ère Année
Diplôme/Certificat – 2ème Année |
Bachelor – 3ème Année |
Master of Arts/Advanced Studies – 4ème Année.
Le réalisateur intervient le plus souvent comme le chef d’orchestre de la réalisation filmique. Il travaille à partir du scénario dont il fait une synthèse. Pour chaque séquence à tourner, il rédige une fiche technique comportant toutes les indications nécessaires sur les personnages, le lieu, les décors et l’éclairage. Il établit un planning de tournage qui est ensuite remis aux comédiens et aux techniciens. Il s’assure que le calendrier est respecté. Il le modifie si des événements imprévus surgissent en cours de tournage.
Son activité se déroule en studio, en décor extérieur et sur tous les lieux de tournage d’un film, d’un téléfilm ou d’une émission télévisuelle. Ce métier donne des responsabilités importantes sur un plateau de tournage.
C’est au réalisateur que revient le rôle de jongler entre les multiples contraintes d’un tournage. Le réalisateur élabore le plan de tournage d’un film de cinéma ou d’une émission de télévision. Il veille au bon respect de ce planning de travail en l’adaptant si besoin.
En collaboration avec le producteur, il met en scène l’histoire à partir du scénario. Il aide à proposer une interprétation personnelle d’une histoire, en collaboration avec les chefs de poste qui sont le directeur de la photographie, l’ingénieur du son, le directeur artistique (ou décorateur), la costumière et le compositeur de films. Il a l’idée générale du projet. Il découpe l’action en plans à partir de la mise en scène et dirige le jeu des comédiens sur le plateau de tournage.
Il s’agit de comprendre le rôle de chacun des membres de l’équipe de réalisation. Être capable d’assumer la fonction de réalisateur lors de la préparation et du tournage d’un court-métrage. Acquérir une certaine maîtrise du matériel de prise de vue et d’éclairage et de comprendre les enjeux de la réalisation cinématographique.
Chaque cours peut faire l’objet d’une ou de plusieurs séances de plusieurs heures de travaux pratiques.
Les différentes étapes de la réalisation d’un film sont les suivantes :
L’équipe du film, réalisation, image, son, post-production.
La préparation du tournage par l’assistant réalisation: repérage, casting…
La rédaction du plan de travail.
Le cadrage et le point de vue: les raccords dans l’axe, 30°, 180°.
Les mouvements de caméra, machinerie, caméra portée (matériel de prise de vue cinéma et vidéo, format film et vidéo).
La lumière, comme principe de base et le matériel. La lumière et la conception de l’éclairage d’une séquence. La réalisation et le montage du film / technique de montage.
La composition de la bande sonore et de la musique du film. Il s’agit de fédérer les connaissances du travail de l’assistant réalisateur, du réalisateur, de la production du film, du budget et le plan de financement, ainsi que le travail de la scripte cinéma et TV ou le découpage technique.
L’école privilégie un apprentissage pratique, c’est-à-dire « apprendre en faisant ». Dans notre cursus, l’étudiant sera impliqué dans différentes situations (fictives ou réelles) afin d’utiliser les compétences acquises en les faisant évoluer tout au long de sa formation.
L’enseignement sera dispensé par cycle d’apprentissage. Le cursus d’un cycle aboutira à la réalisation d’un projet. Le projet sera individuel (exposé sous forme écrite ou numérique) ou collectif.
Dans le cursus d’apprentissage de l’étudiant, le visionnage et le décryptage filmique, les travaux dirigés ou travaux accompagnés font partie intégrante de la formation.
Cette formation s’articule autour de 5 cycles d’apprentissage pour une année d’études (7 – 8 semaines par rythme scolaire) et autour de projets collectifs ou individuels axés sur une thématique imposée par la direction de l’école. Celle-ci peut se décliner aussi en projets libres.
En abordant des thématiques aussi diverses que variées et en utilisant différentes techniques et procédures, l’étudiant devra disposer d’outils d’analyses précis, exprimer son émotion et éduquer son regard à partir de séquences choisies dans des cinématographies de toutes les époques et de toutes les nationalités.
L’organisation par cycle d’apprentissage permet aux étudiants d’apprendre d’une manière inductive, en tirant des conclusions à partir de l’expérience vécue.
L’organisation modulaire permet le développement d’une approche des principes et des techniques prodigués dans les différents cours et ateliers: observation, écriture, introduction à la technique du plateau et analyse.
L’étudiant pourra ainsi appréhender de manière globale et créative les outils d’observations et la connaissance de la réalité du métier ainsi que les spécificités et qualités requises pour le travail en équipe.
En règle générale, l’évaluation sera effectuée tout au long de la formation (épreuves partielles, présence, participation, etc.). Un module d’un cycle (couplé à un projet spécifique) sera acquis par la présentation réussie d’une épreuve finale (ou une somme d’évaluations partielles).
La validation finale de chaque cycle d’apprentissage doit correspondre à l’acquisition d’au moins 80% des modules ainsi qu’à l’obtention minimale de la mention « satisfaisant » pour que le projet de fin de cycle soit validé par le collège des enseignants.
Analyse filmique
Langage filmique
Vocabulaire et grammaire du cinéma
Histoire et esthétique du cinéma
Ateliers d’écriture
Adaptation
Choix narratifs
Découpage du texte en séquences
Personnages
Exposition
Développement
Dénouement
Synopsis
Scénario
Musique de films
Préproduction
Découpage technique
Story-board
Dossier de production
Note d’intention
Devis
Budget
Plan de financement
Autorisations de tournage
Casting
Réalisation
Prise de vue
Cadre et composition
Mouvements de caméra
Éclairage en décor intérieur et extérieur
Prise de son
Mise en scène
Tournages
Spot publicitaire
Portrait
Reportage
Documentaire
Court-métrage de fiction
Postproduction
Initiation aux logiciels de postproduction
Montage
Effets spéciaux
Étalonnage
Mixage
Création de DVD
Scénographie, décors et accessoires
Les inscriptions, dans la limite des places disponibles, seront prises soit pour une formation complète soit pour un cycle d’apprentissage. La période d’inscription est ouverte toute l’année. L’admission sera effectuée sur la base du dossier et du résultat de l’entretien avec le directeur de l’école. En savoir plus…
Nos département de formations etc…

Réalisation et image de synthèse

Début des cours
1er septembre 2024.
Coût de la formation
Jour ou soir : dès 290 CHF.- par mois | Mixte : dès 95 CHF.- par mois
Durée de la formation
Entre 12 mois et 48 mois selon le métier et modalité.
Diplôme délivrés
Certificat professionnel/Brevet – 1ère Année
Diplôme/Certificat – 2ème Année |
Bachelor – 3ème Année |
Master of Arts/Advanced Studies – 4ème Année.
Assistant réalisateur
Assistant réalisateur 3D
Réalisateur de films d’animation 3D
Le réalisateur intervient le plus souvent comme le chef d’orchestre de la réalisation filmique. Il travaille à partir du scénario dont il fait une synthèse. Pour chaque séquence à tourner, il rédige une fiche technique comportant toutes les indications nécessaires sur les personnages, le lieu, les décors et l’éclairage. Il établit un planning de tournage qui est ensuite remis aux comédiens et aux techniciens. Il s’assure que le calendrier est respecté. Il le modifie si des événements imprévus surgissent en cours de tournage.
Son activité se déroule en studio, en décor extérieur et sur tous les lieux de tournage d’un film, d’un téléfilm ou d’une émission télévisuelle. Ce métier donne des responsabilités importantes sur un plateau de tournage.
C’est au réalisateur que revient le rôle de jongler entre les multiples contraintes d’un tournage. Le réalisateur élabore le plan de tournage d’un film de cinéma ou d’une émission de télévision. Il veille au bon respect de ce planning de travail en l’adaptant si besoin.
En collaboration avec le producteur, il met en scène l’histoire à partir du scénario. Il aide à proposer une interprétation personnelle d’une histoire, en collaboration avec les chefs de poste qui sont le directeur de la photographie, l’ingénieur du son, le directeur artistique (ou décorateur), la costumière et le compositeur de films. Il a l’idée générale du projet. Il découpe l’action en plans à partir de la mise en scène et dirige le jeu des comédiens sur le plateau de tournage.
Il s’agit de comprendre le rôle de chacun des membres de l’équipe de réalisation. Être capable d’assumer la fonction de réalisateur lors de la préparation et du tournage d’un court-métrage. Acquérir une certaine maîtrise du matériel de prise de vue et d’éclairage et de comprendre les enjeux de la réalisation cinématographique.
Chaque cours peut faire l’objet d’une ou de plusieurs séances de plusieurs heures de travaux pratiques.
Les différentes étapes de la réalisation d’un film sont les suivantes :
L’équipe du film, réalisation, image, son, post-production.
La préparation du tournage par l’assistant réalisation: repérage, casting…
La rédaction du plan de travail.
Le cadrage et le point de vue: les raccords dans l’axe, 30°, 180°.
Les mouvements de caméra, machinerie, caméra portée (matériel de prise de vue cinéma et vidéo, format film et vidéo).
La lumière, comme principe de base et le matériel. La lumière et la conception de l’éclairage d’une séquence. La réalisation et le montage du film / technique de montage.
La composition de la bande sonore et de la musique du film. Il s’agit de fédérer les connaissances du travail de l’assistant réalisateur, du réalisateur, de la production du film, du budget et le plan de financement, ainsi que le travail de la scripte cinéma et TV ou le découpage technique.
L’école privilégie un apprentissage pratique, c’est-à-dire « apprendre en faisant ». Dans notre cursus, l’étudiant sera impliqué dans différentes situations (fictives ou réelles) afin d’utiliser les compétences acquises en les faisant évoluer tout au long de sa formation.
L’enseignement sera dispensé par cycle d’apprentissage. Le cursus d’un cycle aboutira à la réalisation d’un projet. Le projet sera individuel (exposé sous forme écrite ou numérique) ou collectif.
Dans le cursus d’apprentissage de l’étudiant, le visionnage et le décryptage filmique, les travaux dirigés ou travaux accompagnés font partie intégrante de la formation.
Cette formation s’articule autour de 5 cycles d’apprentissage pour une année d’études (7 – 8 semaines par rythme scolaire) et autour de projets collectifs ou individuels axés sur une thématique imposée par la direction de l’école. Celle-ci peut se décliner aussi en projets libres.
En abordant des thématiques aussi diverses que variées et en utilisant différentes techniques et procédures, l’étudiant devra disposer d’outils d’analyses précis, exprimer son émotion et éduquer son regard à partir de séquences choisies dans des cinématographies de toutes les époques et de toutes les nationalités.
L’organisation par cycle d’apprentissage permet aux étudiants d’apprendre d’une manière inductive, en tirant des conclusions à partir de l’expérience vécue.
L’organisation modulaire permet le développement d’une approche des principes et des techniques prodigués dans les différents cours et ateliers: observation, écriture, introduction à la technique du plateau et analyse.
L’étudiant pourra ainsi appréhender de manière globale et créative les outils d’observations et la connaissance de la réalité du métier ainsi que les spécificités et qualités requises pour le travail en équipe.
En règle générale, l’évaluation sera effectuée tout au long de la formation (épreuves partielles, présence, participation, etc.). Un module d’un cycle (couplé à un projet spécifique) sera acquis par la présentation réussie d’une épreuve finale (ou une somme d’évaluations partielles).
La validation finale de chaque cycle d’apprentissage doit correspondre à l’acquisition d’au moins 80% des modules ainsi qu’à l’obtention minimale de la mention « satisfaisant » pour que le projet de fin de cycle soit validé par le collège des enseignants.
Analyse filmique
Langage filmique
Vocabulaire et grammaire du cinéma
Histoire et esthétique du cinéma
Ateliers d’écriture
Adaptation
Choix narratifs
Découpage du texte en séquences
Personnages
Exposition
Développement
Dénouement
Synopsis
Scénario
Musique de films
Préproduction
Découpage technique
Story-board
Dossier de production
Note d’intention
Devis
Budget
Plan de financement
Autorisations de tournage
Casting
Réalisation
Prise de vue
Cadre et composition
Mouvements de caméra
Éclairage en décor intérieur et extérieur
Prise de son
Mise en scène
Tournages
Spot publicitaire
Portrait
Reportage
Documentaire
Court-métrage de fiction
Postproduction
Initiation aux logiciels de postproduction
Montage
Effets spéciaux
Étalonnage
Mixage
Création de DVD
Scénographie, décors et accessoires
Les inscriptions, dans la limite des places disponibles, seront prises soit pour une formation complète soit pour un cycle d’apprentissage. La période d’inscription est ouverte toute l’année. L’admission sera effectuée sur la base du dossier et du résultat de l’entretien avec le directeur de l’école. En savoir plus…
Écriture et scénarios
Scénariste
Critique des films
Story boarder
Analyste de films
Historien du cinéma
Début des cours
1er septembre 2024.
Coût de la formation
Jour ou soir : dès 290 CHF.- par mois | Mixte : dès 95 CHF.- par mois
Durée de la formation
Entre 12 mois et 48 mois selon le métier et modalité.
Diplôme délivrés
Certificat professionnel/Brevet – 1ère Année
Diplôme/Certificat – 2ème Année |
Bachelor – 3ème Année |
Master of Arts/Advanced Studies – 4ème Année.
Le scénariste écrit le scénario du film. Cela peut être une fiction de long métrage ou de court métrage, une publicité, un téléfilm, un clip ou une série.
L’écriture du scénario est un exercice littéraire très particulier. Un scénario peut être « original » (synopsis) ou l’adaptation d’une œuvre préexistante (roman, pièce de théâtre, film, bande dessinée). En effet, un scénario est un outil de travail, pas une œuvre littéraire. C’est un texte qui contient les éléments nécessaires pour le film mais qui n’est pas le film. C’est un texte de travail destiné à n’être lu que par l’équipe et les acteurs.
Le rôle du scénariste est de mettre en situation une histoire et de déterminer un contexte. Le scénariste découpe son histoire en séquences et scènes qui correspondent souvent à un changement de décors, de temps ou d’action. Les règles établies d’écriture et de mise en forme du scénario sont précises.
Les scénaristes sont peu impliqués au stade de la fabrication d’un film. Parfois, à la demande du producteur, ils restent conseillers durant le tournage et la postproduction.
Les étudiants, au travers l’écriture d’un scénario, se confronteront à toutes les problématiques qu’un scénariste rencontre dans la pratique professionnelle de son métier.
L’objectif principal de cette formation est d’apprendre à l’étudiant à écrire étape par étape son propre scénario de manière professionnelle, mais surtout, d’approfondir ses connaissances afin de concevoir un récit puissant, tout en respectant les règles de construction d’une histoire destinée à devenir un film.
En même temps, les étudiants se consacrent à la pratique, c’est à dire à maitriser le passage de l’élaboration du synopsis à l’écriture du séquencier dialogué.
D’autre part, le programme de formation articule les bases conceptuelles et narratives ainsi que les règles élémentaires de l’écriture d’un scénario, pour comprendre et maîtriser, par exemple, les principales règles dramaturgiques (conflit et émotion, objectif du protagoniste, obstacles, etc.).
Puisque près de sept scénarios de fiction sur dix sont inspirés de livres, l’étudiant devra aussi maîtriser l’art de l’adaptation, en tenant compte des contraintes de production en vue de l’adaptation d’un récit littéraire en fiction audiovisuelle.
Cette formation s’articule autour de 5 cycles d’apprentissage pour une année d’études (entre 6 – 8 semaines par rythme scolaire) et autour de projets collectifs ou individuels axés sur une thématique imposée par la direction de l’école. Celle-ci peut se décliner aussi en projets libres.
L’enseignement sera dispensé par cycle d’apprentissage. Le cursus d’un cycle aboutira sur la réalisation d’un projet. Le projet sera individuel (comme un exposé ou sous forme écrite) ou collectif. L’étudiant sera placé en situation de résolution de problèmes, participant ainsi activement au déroulement de son processus d’apprentissage.
La formation de scénariste passe par la connaissance de l’histoire du cinéma classique et contemporain (et donc par l’apport d’une culture cinéphile) et par l’approfondissement des codes et règles du scénario (mise en page, intrigue, personnage, structure, etc.). Finalement, écrire un scénario de long métrage constitue l’aboutissement du travail de scénariste. Le dernier cycle d’apprentissage permettra aux étudiants de prendre conscience des problèmes que posent la conception et l’écriture d’une œuvre de longue durée.
L’organisation par cycle d’apprentissage permet aux étudiants d’apprendre d’une manière inductive, en tirant des conclusions à partir de l’expérience vécue
L’organisation modulaire permet le développement d’une approche des principes et techniques enseignés dans les différents cours et ateliers : observation, écriture, introduction à la technique du plateau, analyse et critique.
L’étudiant pourra ainsi appréhender de manière globale et créative les outils d’observations et la connaissance de la réalité du métier ainsi que les spécificités et qualités requises pour le travail en équipe.
En règle générale, l’évaluation sera effectuée tout au long de la formation (épreuves partielles, présence, participation, etc.). Un module d’un cycle (couplé à un projet spécifique) sera acquis par la présentation réussie d’une épreuve finale (ou une somme d’évaluations partielles).
La validation finale de chaque cycle d’apprentissage doit correspondre à l’acquisition d’au moins 80% des modules ainsi qu’à l’obtention minimale de la mention « satisfaisant » pour que le projet de fin de cycle soit validé par le collège des enseignants.
Analyse filmique
Langage filmique
Vocabulaire et grammaire du cinéma
Histoire et esthétique du cinéma
Ateliers d’écriture
Adaptation
Choix narratifs
Découpage du texte en séquences
Personnages
Exposition
Développement
Dénouement
Synopsis
Scénario
Musique de films
Préproduction
Découpage technique
Story-board
Dossier de production
Note d’intention
Devis
Budget
Plan de financement
Autorisations de tournage
Casting
Réalisation
Prise de vue
Cadre et composition
Mouvements de caméra
Éclairage en décor intérieur et extérieur
Prise de son
Mise en scène
Tournages
Spot publicitaire
Portrait
Reportage
Documentaire
Court-métrage de fiction
Postproduction
Initiation aux logiciels de postproduction
Montage
Effets spéciaux
Étalonnage
Mixage
Création de DVD
Scénographie, décors et accessoires
Les inscriptions, dans la limite des places disponibles, seront prises soit pour une formation complète soit pour un cycle d’apprentissage. La période d’inscription est ouverte toute l’année. L’admission sera effectuée sur la base du dossier et du résultat de l’entretien avec le directeur de l’école. En savoir plus…
Montage et postproduction
Directeur de la postproduction
Monteur de films
Doubleur (sous titrages)
Début des cours
1er septembre 2024.
Coût de la formation
Jour ou soir : dès 290 CHF.- par mois | Mixte : dès 95 CHF.- par mois
Durée de la formation
Entre 12 mois et 48 mois selon le métier et modalité.
Diplôme délivrés
Certificat professionnel/Brevet – 1ère Année
Diplôme/Certificat – 2ème Année |
Bachelor – 3ème Année |
Master of Arts/Advanced Studies – 4ème Année.
Le doublage est une technique consistant à substituer à la langue originale de tournage d’une œuvre audiovisuelle (film, série, etc.), une autre langue afin de diffuser cette œuvre dans des pays étrangers. Désormais, la plupart des œuvres audiovisuelles sont à la fois doublées et sous-titrées. Puisque le doublage permet de se plonger dans l’action en immersion totale, l’immense succès de certaines séries télévisuelles tient en grande partie aux performances vocales du doubleur. Certains films optent pour une solution hybride, entre doublage et sous-titrage : ils font parler certains personnages dans une langue autre que celle du doublage, qui est sous-titrée.
Le sous-titrage est apprécié des spectateurs qui veulent entendre les voix et les bruitages originaux, ou encore par ceux qui veulent s’habituer à entendre une langue étrangère pour mieux l’apprendre. Il permet d’avoir, la plupart du temps, une expérience plus proche de celle que le réalisateur souhaite faire vivre au spectateur.
Les textes des dialogues de doublage ne correspondent pas toujours exactement à ceux des sous-titres. Les contraintes de synchronisme d’une version française et les contraintes d’espace et de temps du sous-titrage n’étant pas les mêmes, cette différence entre les deux versions est inévitable. La langue écrite des sous-titres n’obéit pas aux mêmes règles que la langue orale. Les sous-titres font preuve d’une grammaire plus « correcte » mais sont aussi plus figés. Leur but est d’être limpides et efficaces. Vouloir « faire coller » les sous-titres au texte, ou l’inverse, est considéré par certains auteurs comme une hérésie.
Chaque version (doublée ou sous-titrée) a son langage propre et s’adresse à un public différent. Si des spectateurs s’amusent à comparer les versions et observent de grandes différences, ils ne doivent pas perdre de vue les spécificités inhérentes à chaque méthode.
Le sous-titrage est une technique liée aux contenus audiovisuels, notamment cinématographiques, consistant en l’affichage de texte au bas de l’image, lors de la diffusion d’un programme, comme un film.
Le programme de formation a pour but de développer les compétences et les capacités d’innovation nécessaires afin de maitriser les différentes étapes du sous-titrage dans le milieu du cinéma :
Le repérage
C’est la première étape au laboratoire. À partir d’une copie du film comportant un time-code (ou TC) et d’une transcription du dialogue, un technicien découpe le dialogue en sous-titres. Le repérage doit faciliter au maximum la lecture du spectateur et pour ce faire, il est établi en fonction des plans et de leur rythme.
La traduction
Le traducteur reçoit ensuite du laboratoire : un fichier MPEG-1 time-codé, le dialogue numéroté et le fichier informatique contenant toutes les données du repérage. Le fichier retourne au laboratoire pour la troisième étape, la simulation.…
La simulation
Toujours en vidéo, le traducteur visionne les sous-titres tels qu’ils apparaîtront sur l’écran avec un simulateur. Le simulateur est le premier spectateur, son avis sur les sous-titres est important pour la qualité du travail.
La gravure, incrustation ou packaging
La gravure (film argentique), l’incrustation (vidéo), ou le packaging (cinéma numérique, DVD) est la dernière étape.
L’avenir de la diffusion de sous-titres dans le domaine de la télévision passera par la disparition progressive de la diffusion télétexte ou incrustation dans l’image à la diffusion. La diffusion étant maintenant presque uniquement numérique (en 2012 tous les vecteurs européens devront être numériques), il suffit d’ajouter autant de composantes de sous-titres dans le flux de données de la chaîne qu’il y a de versions de sous-titres (comme pour un DVD). A la réception le spectateur choisit sa version (pour sourd et malentendant, en français, en allemand, etc.) et le terminal DVB superpose aux images de la vidéo les images des sous-titres. On retrouve donc la flexibilité du télétexte, avec en prime la qualité des sous-titres incrustés à la diffusion (chaque chaîne reste maître de la typographie, des couleurs, etc…).
L’école privilégie un apprentissage pratique, c’est-à-dire « apprendre en faisant ». Dans notre cursus, l’étudiant sera impliqué dans différentes situations (fictives ou réelles) afin d’utiliser les compétences acquises en les faisant évoluer tout au long de sa formation.
L’enseignement sera dispensé par cycle d’apprentissage. Le cursus d’un cycle aboutira à la réalisation d’un projet. Le projet peut être individuel (comme un exposé ou sous forme écrite) ou collectif (réalisation d’un clip publicitaire, court-métrage, etc.).
L’étudiant sera placé en situation de résolution de problèmes, participant ainsi activement au déroulement de son processus d’apprentissage.
Cette formation s’articule autour de 5 cycles d’apprentissage pour une année d’études (entre 6 – 8 semaines par rythme scolaire) et autour de projets individuels centrés sur une thématique imposée par la direction de l’école.
Il est demandé de solides connaissances dans la langue source (la langue du programme à adapter) pour éviter de commettre des erreurs de compréhension. L’adaptateur a en effet la responsabilité de ne pas déformer le sens du texte original. Car si un roman peut être réédité, avec d’éventuelles corrections, le doublage d’un programme audiovisuel l’est rarement, sauf parfois pour des éditions en DVD de films anciens.
L’organisation par cycle d’apprentissage permet aux étudiants d’apprendre d’une manière inductive, en tirant des conclusions à partir de l’expérience vécue
L’organisation modulaire permet le développement d’une approche des principes et techniques enseignés dans les différents cours et ateliers : observation, écriture, introduction à la technique du plateau, analyse et critique.
L’étudiant pourra ainsi appréhender de manière globale et créative les outils d’observations et la connaissance de la réalité du métier ainsi que les spécificités et qualités requises pour le travail en équipe.
En règle générale, l’évaluation sera effectuée tout au long de la formation (épreuves partielles, présence, participation, etc.). Un module d’un cycle (couplé à un projet spécifique) sera acquis par la présentation réussie d’une épreuve finale (ou une somme d’évaluations partielles).
La validation finale de chaque cycle d’apprentissage doit correspondre à l’acquisition d’au moins 80% des modules ainsi qu’à l’obtention minimale de la mention « satisfaisant » pour que le projet de fin de cycle soit validé par le collège des enseignants.
Analyse filmique
Langage filmique
Vocabulaire et grammaire du cinéma
Histoire et esthétique du cinéma
Ateliers d’écriture
Adaptation
Choix narratifs
Découpage du texte en séquences
Personnages
Exposition
Développement
Dénouement
Synopsis
Scénario
Musique de films
Préproduction
Découpage technique
Story-board
Dossier de production
Note d’intention
Devis
Budget
Plan de financement
Autorisations de tournage
Casting
Réalisation
Prise de vue
Cadre et composition
Mouvements de caméra
Éclairage en décor intérieur et extérieur
Prise de son
Mise en scène
Tournages
Spot publicitaire
Portrait
Reportage
Documentaire
Court-métrage de fiction
Postproduction
Initiation aux logiciels de postproduction
Montage
Effets spéciaux
Étalonnage
Mixage
Création de DVD
Scénographie, décors et accessoires
Les inscriptions, dans la limite des places disponibles, seront prises soit pour une formation complète soit pour un cycle d’apprentissage. La période d’inscription est ouverte toute l’année. L’admission sera effectuée sur la base du dossier et du résultat de l’entretien avec le directeur de l’école. En savoir plus…
Production et distribution
Directeur de production
Producteur
Directeur casting
Début des cours
1er septembre 2024.
Coût de la formation
Jour ou soir : dès 290 CHF.- par mois | Mixte : dès 95 CHF.- par mois
Durée de la formation
Entre 12 mois et 48 mois selon le métier et modalité.
Diplôme délivrés
Certificat professionnel/Brevet – 1ère Année
Diplôme/Certificat – 2ème Année |
Bachelor – 3ème Année |
Master of Arts/Advanced Studies – 4ème Année.
Le doublage est une technique consistant à substituer à la langue originale de tournage d’une œuvre audiovisuelle (film, série, etc.), une autre langue afin de diffuser cette œuvre dans des pays étrangers. Désormais, la plupart des œuvres audiovisuelles sont à la fois doublées et sous-titrées. Puisque le doublage permet de se plonger dans l’action en immersion totale, l’immense succès de certaines séries télévisuelles tient en grande partie aux performances vocales du doubleur. Certains films optent pour une solution hybride, entre doublage et sous-titrage : ils font parler certains personnages dans une langue autre que celle du doublage, qui est sous-titrée.
Le sous-titrage est apprécié des spectateurs qui veulent entendre les voix et les bruitages originaux, ou encore par ceux qui veulent s’habituer à entendre une langue étrangère pour mieux l’apprendre. Il permet d’avoir, la plupart du temps, une expérience plus proche de celle que le réalisateur souhaite faire vivre au spectateur.
Les textes des dialogues de doublage ne correspondent pas toujours exactement à ceux des sous-titres. Les contraintes de synchronisme d’une version française et les contraintes d’espace et de temps du sous-titrage n’étant pas les mêmes, cette différence entre les deux versions est inévitable. La langue écrite des sous-titres n’obéit pas aux mêmes règles que la langue orale. Les sous-titres font preuve d’une grammaire plus « correcte » mais sont aussi plus figés. Leur but est d’être limpides et efficaces. Vouloir « faire coller » les sous-titres au texte, ou l’inverse, est considéré par certains auteurs comme une hérésie.
Chaque version (doublée ou sous-titrée) a son langage propre et s’adresse à un public différent. Si des spectateurs s’amusent à comparer les versions et observent de grandes différences, ils ne doivent pas perdre de vue les spécificités inhérentes à chaque méthode.
Le sous-titrage est une technique liée aux contenus audiovisuels, notamment cinématographiques, consistant en l’affichage de texte au bas de l’image, lors de la diffusion d’un programme, comme un film.
Le programme de formation a pour but de développer les compétences et les capacités d’innovation nécessaires afin de maitriser les différentes étapes du sous-titrage dans le milieu du cinéma :
Le repérage
C’est la première étape au laboratoire. À partir d’une copie du film comportant un time-code (ou TC) et d’une transcription du dialogue, un technicien découpe le dialogue en sous-titres. Le repérage doit faciliter au maximum la lecture du spectateur et pour ce faire, il est établi en fonction des plans et de leur rythme.
La traduction
Le traducteur reçoit ensuite du laboratoire : un fichier MPEG-1 time-codé, le dialogue numéroté et le fichier informatique contenant toutes les données du repérage. Le fichier retourne au laboratoire pour la troisième étape, la simulation.…
La simulation
Toujours en vidéo, le traducteur visionne les sous-titres tels qu’ils apparaîtront sur l’écran avec un simulateur. Le simulateur est le premier spectateur, son avis sur les sous-titres est important pour la qualité du travail.
La gravure, incrustation ou packaging
La gravure (film argentique), l’incrustation (vidéo), ou le packaging (cinéma numérique, DVD) est la dernière étape.
L’avenir de la diffusion de sous-titres dans le domaine de la télévision passera par la disparition progressive de la diffusion télétexte ou incrustation dans l’image à la diffusion. La diffusion étant maintenant presque uniquement numérique (en 2012 tous les vecteurs européens devront être numériques), il suffit d’ajouter autant de composantes de sous-titres dans le flux de données de la chaîne qu’il y a de versions de sous-titres (comme pour un DVD). A la réception le spectateur choisit sa version (pour sourd et malentendant, en français, en allemand, etc.) et le terminal DVB superpose aux images de la vidéo les images des sous-titres. On retrouve donc la flexibilité du télétexte, avec en prime la qualité des sous-titres incrustés à la diffusion (chaque chaîne reste maître de la typographie, des couleurs, etc…).
L’école privilégie un apprentissage pratique, c’est-à-dire « apprendre en faisant ». Dans notre cursus, l’étudiant sera impliqué dans différentes situations (fictives ou réelles) afin d’utiliser les compétences acquises en les faisant évoluer tout au long de sa formation.
L’enseignement sera dispensé par cycle d’apprentissage. Le cursus d’un cycle aboutira à la réalisation d’un projet. Le projet peut être individuel (comme un exposé ou sous forme écrite) ou collectif (réalisation d’un clip publicitaire, court-métrage, etc.).
L’étudiant sera placé en situation de résolution de problèmes, participant ainsi activement au déroulement de son processus d’apprentissage.
Cette formation s’articule autour de 5 cycles d’apprentissage pour une année d’études (entre 6 – 8 semaines par rythme scolaire) et autour de projets individuels centrés sur une thématique imposée par la direction de l’école.
Il est demandé de solides connaissances dans la langue source (la langue du programme à adapter) pour éviter de commettre des erreurs de compréhension. L’adaptateur a en effet la responsabilité de ne pas déformer le sens du texte original. Car si un roman peut être réédité, avec d’éventuelles corrections, le doublage d’un programme audiovisuel l’est rarement, sauf parfois pour des éditions en DVD de films anciens.
L’organisation par cycle d’apprentissage permet aux étudiants d’apprendre d’une manière inductive, en tirant des conclusions à partir de l’expérience vécue
L’organisation modulaire permet le développement d’une approche des principes et techniques enseignés dans les différents cours et ateliers : observation, écriture, introduction à la technique du plateau, analyse et critique.
L’étudiant pourra ainsi appréhender de manière globale et créative les outils d’observations et la connaissance de la réalité du métier ainsi que les spécificités et qualités requises pour le travail en équipe.
En règle générale, l’évaluation sera effectuée tout au long de la formation (épreuves partielles, présence, participation, etc.). Un module d’un cycle (couplé à un projet spécifique) sera acquis par la présentation réussie d’une épreuve finale (ou une somme d’évaluations partielles).
La validation finale de chaque cycle d’apprentissage doit correspondre à l’acquisition d’au moins 80% des modules ainsi qu’à l’obtention minimale de la mention « satisfaisant » pour que le projet de fin de cycle soit validé par le collège des enseignants.
Analyse filmique
Langage filmique
Vocabulaire et grammaire du cinéma
Histoire et esthétique du cinéma
Ateliers d’écriture
Adaptation
Choix narratifs
Découpage du texte en séquences
Personnages
Exposition
Développement
Dénouement
Synopsis
Scénario
Musique de films
Préproduction
Découpage technique
Story-board
Dossier de production
Note d’intention
Devis
Budget
Plan de financement
Autorisations de tournage
Casting
Réalisation
Prise de vue
Cadre et composition
Mouvements de caméra
Éclairage en décor intérieur et extérieur
Prise de son
Mise en scène
Tournages
Spot publicitaire
Portrait
Reportage
Documentaire
Court-métrage de fiction
Postproduction
Initiation aux logiciels de postproduction
Montage
Effets spéciaux
Étalonnage
Mixage
Création de DVD
Scénographie, décors et accessoires
Les inscriptions, dans la limite des places disponibles, seront prises soit pour une formation complète soit pour un cycle d’apprentissage. La période d’inscription est ouverte toute l’année. L’admission sera effectuée sur la base du dossier et du résultat de l’entretien avec le directeur de l’école. En savoir plus…
Production et distribution
Directeur de production
Producteur
Directeur casting
Début des cours
1er septembre 2024.
Coût de la formation
Jour ou soir : dès 290 CHF.- par mois | Mixte : dès 95 CHF.- par mois
Durée de la formation
Entre 12 mois et 48 mois selon le métier et modalité.
Diplôme délivrés
Certificat professionnel/Brevet – 1ère Année
Diplôme/Certificat – 2ème Année |
Bachelor – 3ème Année |
Master of Arts/Advanced Studies – 4ème Année.
Le doublage est une technique consistant à substituer à la langue originale de tournage d’une œuvre audiovisuelle (film, série, etc.), une autre langue afin de diffuser cette œuvre dans des pays étrangers. Désormais, la plupart des œuvres audiovisuelles sont à la fois doublées et sous-titrées. Puisque le doublage permet de se plonger dans l’action en immersion totale, l’immense succès de certaines séries télévisuelles tient en grande partie aux performances vocales du doubleur. Certains films optent pour une solution hybride, entre doublage et sous-titrage : ils font parler certains personnages dans une langue autre que celle du doublage, qui est sous-titrée.
Le sous-titrage est apprécié des spectateurs qui veulent entendre les voix et les bruitages originaux, ou encore par ceux qui veulent s’habituer à entendre une langue étrangère pour mieux l’apprendre. Il permet d’avoir, la plupart du temps, une expérience plus proche de celle que le réalisateur souhaite faire vivre au spectateur.
Les textes des dialogues de doublage ne correspondent pas toujours exactement à ceux des sous-titres. Les contraintes de synchronisme d’une version française et les contraintes d’espace et de temps du sous-titrage n’étant pas les mêmes, cette différence entre les deux versions est inévitable. La langue écrite des sous-titres n’obéit pas aux mêmes règles que la langue orale. Les sous-titres font preuve d’une grammaire plus « correcte » mais sont aussi plus figés. Leur but est d’être limpides et efficaces. Vouloir « faire coller » les sous-titres au texte, ou l’inverse, est considéré par certains auteurs comme une hérésie.
Chaque version (doublée ou sous-titrée) a son langage propre et s’adresse à un public différent. Si des spectateurs s’amusent à comparer les versions et observent de grandes différences, ils ne doivent pas perdre de vue les spécificités inhérentes à chaque méthode.
Le sous-titrage est une technique liée aux contenus audiovisuels, notamment cinématographiques, consistant en l’affichage de texte au bas de l’image, lors de la diffusion d’un programme, comme un film.
Le programme de formation a pour but de développer les compétences et les capacités d’innovation nécessaires afin de maitriser les différentes étapes du sous-titrage dans le milieu du cinéma :
Le repérage
C’est la première étape au laboratoire. À partir d’une copie du film comportant un time-code (ou TC) et d’une transcription du dialogue, un technicien découpe le dialogue en sous-titres. Le repérage doit faciliter au maximum la lecture du spectateur et pour ce faire, il est établi en fonction des plans et de leur rythme.
La traduction
Le traducteur reçoit ensuite du laboratoire : un fichier MPEG-1 time-codé, le dialogue numéroté et le fichier informatique contenant toutes les données du repérage. Le fichier retourne au laboratoire pour la troisième étape, la simulation.…
La simulation
Toujours en vidéo, le traducteur visionne les sous-titres tels qu’ils apparaîtront sur l’écran avec un simulateur. Le simulateur est le premier spectateur, son avis sur les sous-titres est important pour la qualité du travail.
La gravure, incrustation ou packaging
La gravure (film argentique), l’incrustation (vidéo), ou le packaging (cinéma numérique, DVD) est la dernière étape.
L’avenir de la diffusion de sous-titres dans le domaine de la télévision passera par la disparition progressive de la diffusion télétexte ou incrustation dans l’image à la diffusion. La diffusion étant maintenant presque uniquement numérique (en 2012 tous les vecteurs européens devront être numériques), il suffit d’ajouter autant de composantes de sous-titres dans le flux de données de la chaîne qu’il y a de versions de sous-titres (comme pour un DVD). A la réception le spectateur choisit sa version (pour sourd et malentendant, en français, en allemand, etc.) et le terminal DVB superpose aux images de la vidéo les images des sous-titres. On retrouve donc la flexibilité du télétexte, avec en prime la qualité des sous-titres incrustés à la diffusion (chaque chaîne reste maître de la typographie, des couleurs, etc…).
L’école privilégie un apprentissage pratique, c’est-à-dire « apprendre en faisant ». Dans notre cursus, l’étudiant sera impliqué dans différentes situations (fictives ou réelles) afin d’utiliser les compétences acquises en les faisant évoluer tout au long de sa formation.
L’enseignement sera dispensé par cycle d’apprentissage. Le cursus d’un cycle aboutira à la réalisation d’un projet. Le projet peut être individuel (comme un exposé ou sous forme écrite) ou collectif (réalisation d’un clip publicitaire, court-métrage, etc.).
L’étudiant sera placé en situation de résolution de problèmes, participant ainsi activement au déroulement de son processus d’apprentissage.
Cette formation s’articule autour de 5 cycles d’apprentissage pour une année d’études (entre 6 – 8 semaines par rythme scolaire) et autour de projets individuels centrés sur une thématique imposée par la direction de l’école.
Il est demandé de solides connaissances dans la langue source (la langue du programme à adapter) pour éviter de commettre des erreurs de compréhension. L’adaptateur a en effet la responsabilité de ne pas déformer le sens du texte original. Car si un roman peut être réédité, avec d’éventuelles corrections, le doublage d’un programme audiovisuel l’est rarement, sauf parfois pour des éditions en DVD de films anciens.
L’organisation par cycle d’apprentissage permet aux étudiants d’apprendre d’une manière inductive, en tirant des conclusions à partir de l’expérience vécue
L’organisation modulaire permet le développement d’une approche des principes et techniques enseignés dans les différents cours et ateliers : observation, écriture, introduction à la technique du plateau, analyse et critique.
L’étudiant pourra ainsi appréhender de manière globale et créative les outils d’observations et la connaissance de la réalité du métier ainsi que les spécificités et qualités requises pour le travail en équipe.
En règle générale, l’évaluation sera effectuée tout au long de la formation (épreuves partielles, présence, participation, etc.). Un module d’un cycle (couplé à un projet spécifique) sera acquis par la présentation réussie d’une épreuve finale (ou une somme d’évaluations partielles).
La validation finale de chaque cycle d’apprentissage doit correspondre à l’acquisition d’au moins 80% des modules ainsi qu’à l’obtention minimale de la mention « satisfaisant » pour que le projet de fin de cycle soit validé par le collège des enseignants.
Analyse filmique
Langage filmique
Vocabulaire et grammaire du cinéma
Histoire et esthétique du cinéma
Ateliers d’écriture
Adaptation
Choix narratifs
Découpage du texte en séquences
Personnages
Exposition
Développement
Dénouement
Synopsis
Scénario
Musique de films
Préproduction
Découpage technique
Story-board
Dossier de production
Note d’intention
Devis
Budget
Plan de financement
Autorisations de tournage
Casting
Réalisation
Prise de vue
Cadre et composition
Mouvements de caméra
Éclairage en décor intérieur et extérieur
Prise de son
Mise en scène
Tournages
Spot publicitaire
Portrait
Reportage
Documentaire
Court-métrage de fiction
Postproduction
Initiation aux logiciels de postproduction
Montage
Effets spéciaux
Étalonnage
Mixage
Création de DVD
Scénographie, décors et accessoires
Les inscriptions, dans la limite des places disponibles, seront prises soit pour une formation complète soit pour un cycle d’apprentissage. La période d’inscription est ouverte toute l’année. L’admission sera effectuée sur la base du dossier et du résultat de l’entretien avec le directeur de l’école. En savoir plus…
Réalisation et image de synthèse
Assistant réalisateur
Assistant réalisateur 3D
Réalisateur de films d’animation 3D
Début des cours
1er septembre 2024.
Coût de la formation
Jour ou soir : dès 290 CHF.- par mois | Mixte : dès 95 CHF.- par mois
Durée de la formation
Entre 12 mois et 48 mois selon le métier et modalité.
Diplôme délivrés
Certificat professionnel/Brevet – 1ère Année
Diplôme/Certificat – 2ème Année |
Bachelor – 3ème Année |
Master of Arts/Advanced Studies – 4ème Année.
Le réalisateur intervient le plus souvent comme le chef d’orchestre de la réalisation filmique. Il travaille à partir du scénario dont il fait une synthèse. Pour chaque séquence à tourner, il rédige une fiche technique comportant toutes les indications nécessaires sur les personnages, le lieu, les décors et l’éclairage. Il établit un planning de tournage qui est ensuite remis aux comédiens et aux techniciens. Il s’assure que le calendrier est respecté. Il le modifie si des événements imprévus surgissent en cours de tournage.
Son activité se déroule en studio, en décor extérieur et sur tous les lieux de tournage d’un film, d’un téléfilm ou d’une émission télévisuelle. Ce métier donne des responsabilités importantes sur un plateau de tournage.
C’est au réalisateur que revient le rôle de jongler entre les multiples contraintes d’un tournage. Le réalisateur élabore le plan de tournage d’un film de cinéma ou d’une émission de télévision. Il veille au bon respect de ce planning de travail en l’adaptant si besoin.
En collaboration avec le producteur, il met en scène l’histoire à partir du scénario. Il aide à proposer une interprétation personnelle d’une histoire, en collaboration avec les chefs de poste qui sont le directeur de la photographie, l’ingénieur du son, le directeur artistique (ou décorateur), la costumière et le compositeur de films. Il a l’idée générale du projet. Il découpe l’action en plans à partir de la mise en scène et dirige le jeu des comédiens sur le plateau de tournage.
Il s’agit de comprendre le rôle de chacun des membres de l’équipe de réalisation. Être capable d’assumer la fonction de réalisateur lors de la préparation et du tournage d’un court-métrage. Acquérir une certaine maîtrise du matériel de prise de vue et d’éclairage et de comprendre les enjeux de la réalisation cinématographique.
Chaque cours peut faire l’objet d’une ou de plusieurs séances de plusieurs heures de travaux pratiques.
Les différentes étapes de la réalisation d’un film sont les suivantes :
L’équipe du film, réalisation, image, son, post-production.
La préparation du tournage par l’assistant réalisation: repérage, casting…
La rédaction du plan de travail.
Le cadrage et le point de vue: les raccords dans l’axe, 30°, 180°.
Les mouvements de caméra, machinerie, caméra portée (matériel de prise de vue cinéma et vidéo, format film et vidéo).
La lumière, comme principe de base et le matériel. La lumière et la conception de l’éclairage d’une séquence. La réalisation et le montage du film / technique de montage.
La composition de la bande sonore et de la musique du film. Il s’agit de fédérer les connaissances du travail de l’assistant réalisateur, du réalisateur, de la production du film, du budget et le plan de financement, ainsi que le travail de la scripte cinéma et TV ou le découpage technique.
L’école privilégie un apprentissage pratique, c’est-à-dire « apprendre en faisant ». Dans notre cursus, l’étudiant sera impliqué dans différentes situations (fictives ou réelles) afin d’utiliser les compétences acquises en les faisant évoluer tout au long de sa formation.
L’enseignement sera dispensé par cycle d’apprentissage. Le cursus d’un cycle aboutira à la réalisation d’un projet. Le projet sera individuel (exposé sous forme écrite ou numérique) ou collectif.
Dans le cursus d’apprentissage de l’étudiant, le visionnage et le décryptage filmique, les travaux dirigés ou travaux accompagnés font partie intégrante de la formation.
Cette formation s’articule autour de 5 cycles d’apprentissage pour une année d’études (7 – 8 semaines par rythme scolaire) et autour de projets collectifs ou individuels axés sur une thématique imposée par la direction de l’école. Celle-ci peut se décliner aussi en projets libres.
En abordant des thématiques aussi diverses que variées et en utilisant différentes techniques et procédures, l’étudiant devra disposer d’outils d’analyses précis, exprimer son émotion et éduquer son regard à partir de séquences choisies dans des cinématographies de toutes les époques et de toutes les nationalités.
L’organisation par cycle d’apprentissage permet aux étudiants d’apprendre d’une manière inductive, en tirant des conclusions à partir de l’expérience vécue.
L’organisation modulaire permet le développement d’une approche des principes et des techniques prodigués dans les différents cours et ateliers: observation, écriture, introduction à la technique du plateau et analyse.
L’étudiant pourra ainsi appréhender de manière globale et créative les outils d’observations et la connaissance de la réalité du métier ainsi que les spécificités et qualités requises pour le travail en équipe.
En règle générale, l’évaluation sera effectuée tout au long de la formation (épreuves partielles, présence, participation, etc.). Un module d’un cycle (couplé à un projet spécifique) sera acquis par la présentation réussie d’une épreuve finale (ou une somme d’évaluations partielles).
La validation finale de chaque cycle d’apprentissage doit correspondre à l’acquisition d’au moins 80% des modules ainsi qu’à l’obtention minimale de la mention « satisfaisant » pour que le projet de fin de cycle soit validé par le collège des enseignants.
Analyse filmique
Langage filmique
Vocabulaire et grammaire du cinéma
Histoire et esthétique du cinéma
Ateliers d’écriture
Adaptation
Choix narratifs
Découpage du texte en séquences
Personnages
Exposition
Développement
Dénouement
Synopsis
Scénario
Musique de films
Préproduction
Découpage technique
Story-board
Dossier de production
Note d’intention
Devis
Budget
Plan de financement
Autorisations de tournage
Casting
Réalisation
Prise de vue
Cadre et composition
Mouvements de caméra
Éclairage en décor intérieur et extérieur
Prise de son
Mise en scène
Tournages
Spot publicitaire
Portrait
Reportage
Documentaire
Court-métrage de fiction
Postproduction
Initiation aux logiciels de postproduction
Montage
Effets spéciaux
Étalonnage
Mixage
Création de DVD
Scénographie, décors et accessoires
Les inscriptions, dans la limite des places disponibles, seront prises soit pour une formation complète soit pour un cycle d’apprentissage. La période d’inscription est ouverte toute l’année. L’admission sera effectuée sur la base du dossier et du résultat de l’entretien avec le directeur de l’école. En savoir plus…